Burn out : très fréquemment, sentiment de dévalorisation, d'isolement -> se voit à l'imagerie fonctionnelle sur les régions "sociales" du cerveau (le sentiment d'appartenance est vital à l'être humain, et le sentiment d'isolement a des csq négatives sur la santé) La motivation fait le travail. Travailler a un coût, qui est évalué face au bénéfice. C'est le rôle de la motivation d'apporter le contre-coût. Quand on est pas motivé, on peut toujours se forcer à travailler, mais rien ne se fera car le négatif gagne. La valorisation sociale motive beaucoup. Un travail répétitif (physique ou intellectuel) a peu de coût mental une fois démarré. Par contre, un travail qui nécessite du /contrôle cognitif/ épuise peu à peu la motivation. Cet **épuisement des capacités de contrôle** (qui sont associé au cortex préfrontal) lorsque qu'on se sert est clair mais mal compris. Peut être un mécanisme naturel de régulation du travail (économie d'énergie, accumulation de métabolites…). Hypothèse neurologique : il y a une accumulation de glutamate dans le cortex préfrontal latéral. Chez les sportifs, l'épuisement des capacités de contrôle mène au syndrome de sur-entrainement. Kasparov face à Deep Blue a affirmé que l'épuisement mental a contribué à sa défaite. L'isomnie est un des premiers signes du burn-out, et les gens vont d'ailleurs voir d'abord un spécialiste du sommeil.