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Réexplication de la dynamique des galaxies naines situées au voisinage de la Voie lactée

l'Observatoire de Paris - 2019-10-01

Longtemps attribuées à la présence de matière sombre, les propriétés des galaxies naines situées au voisinage de la Voie lactée s’expliquent uniquement par des effets de marée. C’est la conclusion à laquelle parvient une équipe franco-chinoise de l’Observatoire de Paris – PSL et du CNRS au département Galaxies, étoiles, physique et instrumentation - GEPI (Observatoire de Paris - PSL / CNRS).
Paraissant en ligne le 1er octobre 2019 dans la revue Astrophysical Journal, l’étude pose un sérieux problème à la cosmologie moderne.
Pour en savoir plus : https://www.obspm.fr/la-dynamique-des-galaxies.html?lang=fr

kenneth Robeson - 2019-10-03

Très bien mais ce phénomène peut-il expliquer également la vitesse de rotation des galaxies spirales qui était
la question princeps posées par V Rubin ?

jean-maurice Lozic - 2019-10-09

pas encore c'est juste une observation isolé, il nous en faudra bien plus pour trouver une solution

Fea - 2020-02-06

Très belle approche ! c'est un bon exemple du caractère chaotique du système étudié, et a quel point on est bas niveau dans ce dernier. Je pense qu'on est sur une bonne piste : en complexifiant le modèle, en prenant en compte les différentes interactions a tous les échelles sans chercher a négligé ce que l'on pense négligeable (maths cartésiennes) mais que l'on a pas le droit de négliger, on va pouvoir retirer un bon nombre de cas lié à la matière noir, et peut-être, réévaluer ce qu'elle est, et/ou sa proportion. wé, comme pour les modèles météos.

Les lacunes peuvent aussi servir a chercher des interactions manquante parmi ce qui est connu.




Pour me suivre : voici les notions systémiques dont je fais allusion :

les régles ne sont pas les mêmes dans un système (chaotique) que dans une fonction (d'état). Dans une fonction d'état, on peut négliger des paramètres car une petites variations de nos variable entraînera une petites variation du résultat. c'est ce qui permet la dérivabilité/intégration, et il y a, par l'effet d'une résultante de changement, une causalité. Dans un système, les différents items sont intriqués, et tous participent à des boucles rétroactives (ou d'autres) de changement ou de maintient. D'ailleurs la causalité n'existe pas. Et la question ne se pose même pas dans un système anticipatif/stratégique. Mais même sans cela, la causalité n'est pas possible car l'un ne peut pas influencer l'autre, sans que cela ne l'influence aussi, bref c'est lié au système de boucle de rétrocontrôle. Si un truc bouge, c'est que quelque part, tout semble est être prêt à bouger, alias, changer d'état. D'ailleurs, la physique quantité répond intégralement aux règles génériques d'un système (quelque soit la discipline). Ce qui relative beaucoup de truc "extraordinaire" qu'on peut faire dire des équations ... qui sont bâtardes entre logique (algorithme) et fonction au passage.

. exemple ? On peut voir l'effet du chaos avec les planètes du système solaire. leur masse sont négligeables, mais pourtant leur mouvement participent à faire osciller le soleil (surtout Jupiter, mais elle même intriqué aux autres planètes). D'ailleurs l'harmonique des périodes orbitales montrent ce lien. Dans la plupart des cas, la seule résultante qu'il y aura est une force de maintient car notre système est métastable. Et en gros, l'effort fourni pour "déstabiliser" le grand tout (ou une sous structure comme notre amas) sera totalement contré/absorbé, et rendu nul. Mais des fois, ça bascule d'un état (singularité/quanta suivant les discipline) vers un autres * . et la on est dans une force de changement. Suivant la sommes de tout ceci, soit on est dans une dynamique de maintient, et tout s'auto-stabilise, soit c'est l'inverse. bref, Jupiter, peut, ou pas, jouer un rôle dans la réaction de notre galaxie a un événement donné, dans un temps donné. Mais bien, sur, c'est une possibilité. pas (comme on l'entend avec la th. du chaos et le papillon) une obligation causale. Apres tout, il n'y a pas de causalité ici, juste une structure métastable qui va s'équilibré comme item 'singulier' si ses conditions environnementaux change. Change veut dire causalité, mais apporté par l'extérieure du système, aux niveaux "état/item" singulier.

* ps : l'infinité des possibilités d’interaction chaotique crée des singularités (ou quanta), c'est a dire un ensemble d'état ponctuel et fini. Ces singularités, on peut manipuler dans des maths cartésiennes (en déduire une fonction continue sur le réel). Les singularités fixent la nature chaotique/complexe. Tout le traitement de donné qui donne cette réponse "singulière" n'est plus essentielle, seul la proportion de cette réponse est pertinente. Comprendre leur variation est de la science mécanistique. Et si on l'étudie dans un état fixé, on a de la dynamique.