Nuestro Potager - 2022-04-01
L'été dernier, le mildiou a dévasté bon nombre de nos culture que ce soit en Belgique ou dans le nord de la France. Il nous a semblé intéressant de chercher à comprendre cet ennemi de manière cartésienne et d'ainsi couper court aux croyances et désinformation sur le sujet. Nous sommes partis à la rencontre du Professeur Sébastien Massart qui est phytopathologiste à l'Université de Liège - Gembloux Agro Bio-Tech. Il nous explique d'un point de vue scientifique l'histoire du Mildiou, son fonctionnement, les recherches à son sujet et les moyens de lutte et de préventions contre ce fléau. 00:00 Introduction 00:17 Présentation de la faculté de Gembloux Agro-Bio Tech et du Professeur Sébastien Massart 01:06 Le Mildiou qu'est-ce que c'est ? 01:40 Symptômes du mildiou 02:14 Le mildiou, d'où vient-il ? 02:57 Comment est-il arrivé dans nos régions ? Les famines qu'il a engendré. 04:01 Apprendre à vivre avec le mildiou. 04:29 Arrivée du variant "A2", reproduction sexuée, diversité génétique plus importante. 05:53 La biologie du mildiou son cycle de vie et de propagation. 09:11 Saison 2020 vs 2021. 09:53 Les moyens de lutte et de prévention en vis à vis du cycle de vie du mildiou. 10:32 Emplacement idéal des plants de tomates pour se prémunir du mildiou. 11:45 Choix des variétés au moment des semis. 12:02 Résistances "verticales" /"Qualitatives" grâce aux gênes de résistance, plants hybrides. 13:15 Sélections par pollinisation forcée 14:01 Mention des travaux de sélections d'espèces au Centre Horticole de la faculté. 14:25 Précautions pendant la saison. 15:00 Actions recommandées si l'épidémie se confirme. 16:29 Traitements préventifs et curatifs. 18:50 Décoctions: Le purin d'orties. 20:42 Décoctions: Ail, Bicarbonates, etc. 21:58 Conclusion ----- Vous désirez poursuivre des études à l'Université de Liège - Gembloux bio-Tech et ainsi vous former aux sciences du vivant et à l'ingénierie biologique ? Tous les renseignements sont ici: https://www.gembloux.uliege.be Un grand merci à la faculté et à Sébastien Massart pour son accueil.
Ça fait un moment que je cherche une chaîne de potager qui se base sur des résultats de recherche! C'est agréable d'en avoir trouvé une. Merci pour ce partage de savoir vérifié, ça évite de trop répéter les expériences déjà faites 👍
Je suis moi-même ingénieur civil et il faut toujours suivre un protocole ou une méthodologie. J'en avais marre de lire et d'entendre des balivernes. C'est pourquoi j'ai pris contact avec Gembloux Agrobiotech, le pôle agrologie de l'université de Liège. Malheureusement certains ne veulent pas (on ne peuvent pas) séparer les résultats des études scientifiques des "on a toujours fait comme cela ". C'est dommage mais on ne peux rien y faire. J'ai fait une autre vidéo basée sur des constatations persoyet appuyée par des publications scientifiques : vidéo sur le marc de café.
Cordialement et merci pour la confiance
Hugues
@@nuestropotager oui, j'ai vu la vidéo sur le marc de café juste après, je n'ai vu que ces 2 vidéos. Je me suis jamais déconnecté de la nature et du potager malgré mon grand intérêt pour la science. J'ai fait une école d'ingénieur en matériau suivi d'un master en laser pour finir par trouver un poste d'ingénieur en rhéologie. La science et le potager ne sont pas du tout incompatible, bien au contraire. Il faut dire que la recherche du profit de certains industriels ont pas mal entâchés le rôle de la science. Merci pour ton travail, j'espère que ton public ne t'empêcheras pas de continuer dans cette direction 👍
@@nuestropotager Salutation, une étude Japonaise prouve que le marc de café n'est pas bon car il contient un anti germinatif, alors ne pas utiliser pour les semis, bréf, pour le mildiou le bicarbonate est excellent, magique meme, merci pour votre engagement!
@@droledequestionneur4550effectivement, ceux qui ont l'argent pour faire certaines études, sont svt ceux à qui elles vont servir 😊
Magistralement expliqué sans fioritures!
Merci infiniment!
Merci pour le support
Hugues
Merci pour ces informations claires qui placent la luttre contre le mildiou dans sa réalité et remettent à leur juste valeur les "remèdes" miracles, qui n'ont, après essais, de miracle que le nom !
Merci. Mais malheureusement, comme toujours, certains mettent en doute la véracité des études et constatations scientifiques. Ce ne sont pas des climato sceptiques mais des sciento sceptiques. C'est dommage, mais c'est dans l'air du temps.
Cordialement
Hugues
Le fait d'avoir un couvert végétal réduit les éclaboussures lors des pluies et donc le saut des spores stockées dans le sol vers les feuilles des solanacées. Dommage qu'il n'en parle pas. Oui ça maintient aussi de l'humidité dans le sol, mais les sécheresses sont aussi à prendre en compte. L'eau est une ressource à ne pas gaspiller, ce qu'obligent les sols nues. Un peu de transdisciplinarité de fait pas de mal, sinon on déplace les problèmes.
Second point, les blessures occasionnées sur les plants lors de leurs tuteurages/palissages, seront autant de portes d'entrée pour le mildiou (et autres pathogènes). Ce point est donc contre le sur-interventionnisme agricole.
Bjr,
Merci pour votre travail de pédagogie.
Il faut aussi parler de la bonne santé du sol et de la biodiversité végétale qui favorise la biodiversité des insectes et microbienne.
Pour ma part, pas de bêchage, pas de traitement, pas d’engrais, uniquement de la matière organique ( BRF et fumier mélangé à l’automne uniquement en surface)je jardine en conservation des sol.
En 10 ans d’expérimentation le mildious est apparu que les 3 premières années, depuis j’ai des plans parfait sains, même cette année malgré les pluies insérantes et je suis en Savoie 😊
Donc il doit y avoir une interaction entre sol en parfaite santé, environnement diversifié et maladie évitée.
Il faut peut arrêter de ce focaliser sur les conséquences et travailler sur les causes des problèmes.
Et cela dans tous les domaines.
Très cordialement
Vous avez raison et un des points importants est la ventilation. Cela ne sert à rien de serrer les plants comme des gens dans le métro. S'il y a un risque, c'est la qu'il va se matérialiser en premier lieu.
Cordialement
Hugues
@@nuestropotager oui en effet , je plante une ligne centrale par planche avec de chaque côté une variété basse ( carotte, poireaux ou salade par exemple)
Cette année j’ai 80 plants de 5 variétés différentes, pas de mildious, j’ai moi même étonné au vu le la pluviométrie, et en plus j’ai déjà récolté les premières à maturités.
J’écris tout cela à titre pédagogique.
Bien à vous
Bonjour et cette vidéo est particulièrement intéressante. Cette année ( 2024) très humide fait que le mildiou est arrivé violemment sur mes plants de tomates( tous foutus malgré le traitement par bouillie bordelaise en prévention) et en fait la 1ère attaque a été sur mes plants de patates du jour au lendemain, idem sur les patates d'ailleurs. Je recueille et jette en benne la moindre feuille trouvée par terre ou qd j'arrache un plant ( surtout pas ds mon compost!). Effectivement j'ai l'impression que cette année c'est plié c'est foutu en espérant qu'il n'y aura pas trop de spores restant ds la terre. Par contre je surveillerai beaucoup + mes plants l'an prochain!!
De meme ici au Portugal malgré plus de soleil c est une première ici pour moi , en tout cas merci une bonne vidéo
@marie : Vous pourriez essayer la stratégie suivante qui procède en 2 étapes distinctes, et qui est très facile à mettre en oeuvre. C'est même enfantin, au sens où même un enfant de 8 ans pourrait le faire seul, et ainsi gôuter au plaisir et à la fierté d'une culture potagère réussie de tomates et de cucurbitacées (courge, courgette, melon, potiron, potimarron, cornichons-concombre, ...).
Voici : dans un premier temps, nous allons produire une belle quantité de spores d'un bon pénicillium. La production sera spontanée sous certaines conditions de T° et d'humidité. Commençons par récolter du vrai pain ! et le laissons sécher à l'air libre. Exposé à l'atmosphère ambiante, il se chargera de spores de multiples moisissures et de champignons. Puis, réhumidifions le pain sec, en veillant surtout à ne pas le détremper. Confinons-le dans l'obscurité en lui assurant une T° comprise netre 20 et 27°C. Une armoire condamnée pour cette opération fera l'affaire dans un recoin de la cuisine ... La moisissure la plus véloce sera celle d'un bon penicillium, et au terme de quelques jours, nous verrons apparaître les premiers noeuds bleuâtres, caractéristiques de la moissure qui s'empressera de coloniser tout le pain humidifié, et d'empêcher la présence et l'activité de tout ce qui lui serait concurrentiel. Au terme de la culture, le pain aura totalement disparu sous un océan de poudre gris-bleu. Lorsque le pain aura été littéralement dévoré par ce penicillium, il sera temps d'en récolter les spores, caractéristiques du bleu du roquefort ! La poudre de spores étant très volatile nous veillerons à la récolter avec douceur afin de n'en rien gaspiller.
Ensuite, au moment propice de préparer les semis de tomates et cucurbitacées, nous inséminerons au terreau de semis les spores de ce bon penicillium. Nous pouvons même en enrober les graines ! Nous ferons la même opération d'ensemencement lorsque le temps sera venu de repiquer les jeunes plants en pleine terre. Mon expérience tend également à démontrer que la moisissure ainsi présente et active comme protection souterraine - par mycorisation des racines des jeunes plants - lorsque l'amendement de la terre de culture est enrichie d'un terreau qui ne soit pas complètement composté. L'un des meilleurs terreaux - non totalement décomposé - sera celui obtenu par la tonte d'un gazon bien vert, mis à fermenter en tas, puis exposé à l'action spontanée de moisissures s'il n'est pas trop compacté afin de permettre leur action aérobique - en présence d'air, sans saturation hydrique -. Vraisemblablement, c'est le même et bon penicillium qui agit pour le compostage du gazon après la première étape de fermentation bactérienne, dans les mêmes conditions idéales de T° et d'humidité que pour l'obtention de spores d'un bon penicillium ...
Vos tomates et vos cucurbitacées seront très bien armées pour se défendre du mildiou et d'autres pathogènes - la rouille, l'oïdium, ... -.
Laissons-nous tenter à faire courir quelques plans sur le sol, sans tuteur, car leur faculté de marcottage est remarquable ! Et là où nous découvrirons la naissance de racines, recouvrons de notre compost. Lequel compost aura été amélioré de spores d'un bon penicillium ...
Les fruits obtenus seront sains, délicieux, et ils se conserveront jusqu'à Noël pour les tomates à T° ambiante, surtout pas au frigo ! et les courges bien mûres se conserveront aisément jusqu'au printemps suivant ...
L'année suivante, nous penserons à renouveler les mêmes opérations, mais repiquerons nos jeunes plants dans un autre emplacement que celui de l'année précédente, évidemment.
Voili-voilou !
Note : il n'est pas explicitement dit dans la vidéo que l'attaque du mildiou se fasse par voie aérienne. Perso, je pense qu'elle souterraine, par les racines des jeunes plants. La propagation des spores de mildiou est certes ! aérienne, mais la destruction des plants se fait en leur coeur, et plutôt par la racines. Cela signifie que tout traitement aérien ne guérira pas les plants, mais limitera la propagation par voie aérienne.
En somme, il vaut mieux prévenir que guérir, et c'est l'objet de ma stratégie.
Très intéressant merci il me semblait bien que les décoctions d'ail avaient un effet. J'ai simplement mixer de l'ail filtrez et diluer dans de l'eau puis vaporisé sur quelques plans en plein air pendant une éclaircie. Résultats ce sont les pieds qui s'en sont le mieux tiré.
J'ai aussi l'impression que faire pousser de l'ail/des poireaux sur la même parcelle apporte une protection.
Une Super Vidéo qui remet les choses dans leurs réalités. Je mets au moins 3 pouces bleus , merci Hugues, Amitié JP
Merci Jean-Pierre. Je t'avais parlé de ce projet de vidéo scientifique sur le mildiou. Nous avons eu un super accueil à la Faculté Agronomique de Gembloux, pardon ça s'appelle à présent Gembloux Agro Biotech. Nous avons deux autres vidéos en préparation avec eux, mais ce sera pour la fin de l'été afin d'avoir beaucoup de choses à montrer.
Amitiés
Hugues
Perso, j'ai traité a l'urine et les resultats ont été, en 2 jours, excellents, plus de mildiou ! Ce n'est pas cher et c'est super !
Il faut tjs traiter au pied !
Qu'on se le dise !
Merci, très bonne explication et élocution du Professeur Sébastien Massart.
Le professeur Massart est très bien et fort apprécié de ses étudiants en agronomie
Ce fut un plaisir de travailler avec lui pour la (longue) préparation de cette vidéo .
Cordialement
Hugues
@@nuestropotager Merci, à vous Hugues.
Très intéressant et très pertinent. Pour l'arrosage, j'utilise aujourd'hui des oyas, ce qui me permet de ne jamais arroser la terre au pied, et encore moins les plants. Pas de mildiou sur les pieds de tomate cette année, par contre la vigne est très touchée, et seuls mes pieds de l'inra et mes variétés botaniques anciennes ont résisté. J'habite le sud de la France.
Bonjour Nuestro Potager, un grand merci à vous de nous faire connaitre cette vidéo avec ce professeur remarquable 👍 ! Aussi je l'ai partagée sur le site du Potager durable de Nicolas. Bien à vous !
Merci pour l'encouragement et la confiance.
Hugues
Très bien mais il y manque une info essentielle : la protection par un simple abris antipluie, donc non pas une serre mais juste un bout de couverture, de préférence transparente au dessus des plants. Efficacité confirmée par plus de dix année d'expérience de culture protégée par mes encadrements de fenêtres. Donc très partielle puisque qu'une grande partie du feuillage prend la pluie. Mais suffisante pour que j'ai, en Île de France, des tomates sans mildiou jusqu'à Noël.
J'avais posé cette question au professeur Massart mais il m'avait confirmé que les tunnels serre ouvertes (aux extrémités) n'étaient pas épargnées pour autant
pourtant je vois ce système partout en Normandie dans mes balades, avec des plants verts en parfaite santé, mieux que moi sans abri malgré purin et HE
On ne peut rien conclure sur les anecdotes et observations. Le simple fait d’utiliser des variétés résistantes va faire croire que d’autres méthodes complémentaires sont efficaces.
Curieux que très peu de jardinier semble l’ignorer? Moi le premier. Merci de l’information.
il a partiellement raison mais il e faut pas être aussi defeatist…
Un grand merci pour le contenu très qualitatif de cette vidéo 😉
Vigneron depuis 1978 près de Montpellier je trouve cette vidéo très instructive ! Seul bémol en agriculture biologique depuis l'année 2000 on a eu des attaques de mildiou très importantes en 2018 notamment, mais des viticulteurs non AB ont eu eux aussi de forts dégâts ! Pour l'accumulation du cuivre dans le sol j'ai assisté à une conférence du Pr Marc-André Selosse qui nous a expliqué que l'effet du cuivre dans le sol n'est pas un problème pour la vie de celui-ci !
@@laurentbaudou3759 Le cuivre et ses oxydes seraient sans effet toxique dans le sol et les organismes vivants ? Vous êtes sérieux ?
Vous auriez dû demander au Pr de vous présenter préalablement :
1. ses diplômes, la preuve de ses activités professionnelles, ses ouvrages scientifiques revus par ses pairs ;
2. ses liens d'intérêt - notamment financiers - avec tout intervenant extérieur.
@@jeansentrais9866
Je n'ai aucun diplômes, par contre regardez si vous en avez le temps le curriculum d'études du Pr Marc André Selosse!
Votre niveau d'étude vous permet, peut-être, d'avoir un avis différent ?
Sachez toutefois que je suis en agriculture biologique depuis 2000 et que nous employons entre 2 et 4 kg/ha/an de cuivre métal et que nos sols sont bien vivants ! Après humblement je ne fais que relayer les propos d'un scientifique de renommée, je pense fort aux professeurs Raoult, Perronne, et....... qui se sont fait injurier pendant le Covid !!!! À chacun ses références, je ne prétend convertir personne !
Je ne puis juger, nous n'avons pas de vigne et je ne suis qu'un humble ingénieur civil mécanicien en aéronautique. Le potager est ma passion et j'applique la rigueur de l'ingénieur. Mais quand je ne sais pas, je ne peux me prononcer.
Vous avez de solides universités en France, essayez de contacter un professeur.
Cordialement
Hugues
Je suis viticulteur en Bourgogne. J'ai repris des parcelles qui avaien été largement traitées au cuivre (les analyses de sol le confirment). Je n'observe pas de différence de vigueur, de vie de sol (etude de mychorize, présence de macro organisme) avec les parcelles à très faible concentration en cuivre.
Cette année 2023 est dévastatrice et aucun moyen naturel n'a réussi à contenir la maladie (traitement préventif, effeuillage, couvert végétal ou non, etc). Il faut se rendre à l'évidence, face à l'évolution des souches de mildiou (plasmopara viticola pour la vigne), nous sommes dans une impasse technique en agriculture biologique.
@@BenoitCHEVALLIER Bonjour Mr Chevalier, merci pour votre avis, perso nous sommes en AB depuis 2001 et c'est vrai que chaque année depuis 2017 nous avons eu quelque chose, 2017 gel, 2018 mildiou, 2019 canicule, 2020 moyen, 2021 gel historique! Heureusement 2022 et 23 sans gros problèmes !
Cette année beaucoup de pluies mai, juin et beaucoup de mildiou mosaïque en fin de période, maintenant la chaleur stoppe son développement !
Je reconnais qu'en Bourgogne être en AB doit être un parcours du combattant ! Bon courage et bonne vendanges, amicalement, Laurent Baudou
Super vidéo merci
Une prochaine sur l'oïdium sur cucurbitacées ? 🙏
Bravo une vidéo de grande qualité merci au deux intervenants 👍👏👏
Merci
Hugues
Bravo pour cette vidéo sérieuse ! Dans le domaine du jardinage, ça manque énormément !
Merci pour cet encouragement
Je suis ingénieur et je me refuse de faire des vidéos pour ne rien dire. Je n'ai pas le temps de faire des vidéos pour faire du click comme on peut parfois le voir. Aussi lorsque j'ai un problème je cherche la solution et le "on a toujours fait comme cela " n'est jamais considéré. Ici j'en avais marre de lire et de voir des débilités à propos du mildiou et j'ai donc contacté l'université de référence en Belgique pour l'agronomie. 2 jours après j'ai été recontacté par le professeur Massart qui en avait aussi marre de ces débilités. Voilà la genèse. Il m'a aussi dit que cette vidéo faisait partie du matériel didactique pour ses étudiants ingénieur agronome.
Merci encore de me suivre sur Nuestro Potager
Cordialement
Hugues
Oui si tu entends par là les youtubeurs ecolobobo, ou qui veulent faire simplement du click.
Par contre, dire que les sachant ne sont que les ingénieurs ou similaires me fait bien rire.
Un théoricien qui n'a jamais rien fait de ses mains pour l'agronomie ou pour toute autre discipline saura toujours moins bien faire que l'ouvrier lambda dans la pratique, il sera juste bon à dire que normalement il ne faudrait pas faire comme ci, ou comme ça... Mais jamais rien ne sera produit de ses mains
Super interressant ! Merci pour cette contribution scientifique et tous les conseils pratiques développés ds cette vidéo. En plus de ses compétences scientifiques ce chercheur est aussi un excellent pédagogues. La construction de sa présentation est très judicieuse et claire . Un grand merci à vous deux !
Ça fait du bien de sortir de la potion magique qui n a bien souvent comme objectif qu une recherche de " clics" et donc de " vus " .
A l occasion il pourrait etre interressant de lui demander si des recherches ont été menées sur des graines vendues comme resistantes au mildiou par Pascal Poot . Avoir un avis de scientifique suite à des expériences serieuses en toute objectivité serait très precieux .
C'est Jean Pierre du Potager de Lunas ( un voisin ) qui m a conseillé votre vidéo sur Marc ( du café du coin ) 😉
Merci pour ces commentaires. J'en ferai part au professeur Massart. Je prévois une autre vidéo scientifique sur ces plants de tomates résistantes au mildiou (résistance verticale) avec un autre professeur et collègue du professeur Massart. Mais ce type de vidéo demande une bonne et longue préparation. C'est dans les cartons en tout cas. Nous venons aussi de publier une vidéo sur le marc de café. Elle n'est pas "scientifique " comme celle sur le mildiou, mais repose sur des résultats d'études scientifique.
Cordialement
Hugues
👍
Alors là, c'est complet! super et merci!
Merci à vous deux !
👍👍
Merci pour l'encouragement
Cordialement
Hugues
merci pour ces conseil Christian de Belgique
pour le purin d orties...et les etudes comparé...les gros groupe ne veulent pas d etude sur les orties lol (c est dailleur pour ca que les graines ancienne et non modifier son interdit a la vente (merci BAYERS qui a racheter MOSANTOS!!!) grand merci a vous pour cette magnifique video
Merci pour l'encouragement
Cordialement
Hugues
C'est ouff de mettre la main sur des graines.
La prêle ......
Merci bcp pour cet interview! C'est quand même un peu decevant qu'il ya si peu des études sur les agents bioloqiques apart le cuivre, contre un des germes le plus néfaste de notre histoire. Apparament les grandes firmes agrichimiques profitent mieux en nous vendre les saletes comm le RoundUp.
Je ne suis pas trop d'accord car les universités mènent en permanence des études sur des méthodes "non chimiques ". C'est un travail de longue haleine, peu visible mais il existe, je l'ai constaté de mes propres yeux.
Mais ce n'est pas simple et il faut toujours trouver des financements pour les études.
Cordialement
Hugues
Excellentes informations . Pour ma part, j'élimine les spores en passant les feuilles contaminées les restes au micro-onde.
merci encore pour toute l, info.
très très intéressant ! Merci beaucoup
2024, l'affaire est (pas mal) pliée.
Très clair et précis !!!
Merci
Merci pour l'encouragement, ça fait plaisir de lire que l'on apprécie le travail de préparation avec le professeur.
Cordialement
Hugues
Três interessante et instructive merci beaucoup
Très intéressant Merci!
Video formidable.
Je traite à 75 % de soufre 25% de sulfate de cuivre.
Première journée : le pied et tige principale
Deuxième journée : le dessous des feuilles.
Un paillage amortissant les gouttes de pluie.
Pour l'instant ça fonctionne.
croisons les doigts. Vous êtes où?
Sauf que ça gêne la faune du sol dont les champignons
Merci beaucoup pour votre travail et cette très intéressante collaboration !
Merci. Cette collaboration a été très enrichissante.
Cordialement
Hugues
Merci et bonne continuation.
😮 bonjours .
une vidéo 📹 fort intéressante ⚠ je partage en espérant que beaucoup la visionneront Jean Pierre du potager de Lunas à raison la question ❓❓ remets bien les choses dans leurs contexte vue les différences saison que nous subissons de canicule à plus humide sur les périodes d'été voir les périodes printanière déjà on voit des maladies se montrer de plus en plus tôt dans les saisons des insectes nuisibles la aussi de plus en plus tôt en saison comme les pucerons les punaise et même le frelons asiatique nous en avons observer début mars de cette année sur Toulouse donc je ne serai pas étonné de voire le mildiou de plus en plus tôt la aussi en saison et même sur des légumes d'hiver ou ont est loin de penser l'être humains change pourquoi pas la nature avec c'est différente maladie.
super reportage bravo et continuez à nous démontrer la réalité sur les différents végétaux .
à bientôt le potager charentais.
😮🎉😮
Merci pour l'encouragement. Je voulais faire cette vidéo scientifique avec un professeur d'université depuis quelques temps. Il y aura aussi une autre vidéo scientifique sur les virus des tomates (certains sont déjà présents en Belgique). Une thèse est en cours sur le sujet à cette même université. Ce sera donc une vidéo sur un nouveau fléau en arrivée; il est déjà présent chez les professionels mais pas encore constaté chez les particuliers mais ce n'est qu'une question de temps. Un super bravo à notre ami Jonathan car effectuer les prises de vues et surtout le montage d'une telle vidéo n'est pas un exercise simple. Cordialement. Hugues
@@nuestropotager..
Bravo 🐥
Et sublime pour Hugue
Vous oubliez les limaces 😂
Très intéressant. Merci
Très intéressant merci
Merci pour le commentaire
Cordialement
Hugues
Merci. C'est mieux de savoir !
Cette année (2024) c’est foutu pour moi ,le mildiou n’arrête pas ses ravages, nous sommes au18 juillet et les plans n’arrivent pas à dépasser les 15 cm pour ensuite voir les troncs devenir noirs. Pourtant je suis sur la côte Atlantique à St Brévin les pins. Trop de pluies, trop d’humidité, c’est la première fois que je suis en échec total. Dommage de devoir faire fonctionner les centres commerciaux, ces boites à fric, où les légumes n’ont pas de goût et coûtent la peau des fesses!😢
Nous venons d'avoir une attaque de mildiou. Ça commence (c'est la seconde fois) sur la parcelle d'un qui ne suit pas du tout les recommandations. La première année il y avait 30 cm entre ses plants. Le mildiou a démarré de sa parcelle pour tout contaminer. Cette année il a fait un effort, 50 cm! Et l'entièreté de ses plants ont été atteints. On lui a fait tout arracher. Les autres parcelles (1 m entre chaque plant) ne sont pas atteintes mais il faut que le beau temps se maintienne.
Cordialement
Hugues
Vraiment intéressant!
Merci bcp Hugues.
Arnaud et Virginie
Merci. Cela me semblait nécessaire après toutes les âneries que j'ai pu lire ou entendre après l'épisode mildiou de 2021. Malgré cela, certains mettent en doutes la véracité de ce que dit ce professeur d'université spécialisé en phytopathologie.
J'ai un potager depuis 30 ans et chaque année je pulverise de l extrait de raisin de pamplemousses et cela marche très bien
De l'extrait de pépin de pamplemousse
Si le mildiou arrive à survivre et à se multiplier sur une plante c'est parcqu'il arrive à rentrer ds les tissus de la plante. En effet comme il a besoin d'eau et de nutriments il ne pourrait pas survivre si il restait uniquement sur la surface des feuilles. Car des que la surface de la feuille serait sèche il mourrait immédiatement par dessication (manque d'eau) sauf si il arrivent à sporuler (fabrique une protection sur la paroi) comme chez certaines bactéries. Donc cela veut dire que si on veut s'attaquer à notre champignon (ici le mildiou) il faut donc un traitement qui rentre dans les tissus de la plante. CQFD. Comme la plante à une protection graisseuse (hydrophobe) sur ses feuilles il faut donc d'abord faire "sauter" cette protection cireuse. C'est pourquoi il faut utiliser un dégraissant (ex liquide vaisselle). Ensuite reste à trouver un produit (curatif mais inoffensif pour la plante ) qui s'attaquera au mildiou en traversant la parois pour l'attaquer directement ds les tissus.En résumé il faut donc utiliser conjointement un dégraissant pas trop puissant (liquide vaisselle ??? Mais est ce pas trop puissant ?) avec un autre produit antifongique. D'ailleurs le liquide vaisselle est un antifongique. L' a t'on déjà essayé contre le mildiou ? À t'on essayer par exemple liquide vaisselle avec bicarbonate par exemple ? De toute façon il faut trouver un dégraissant pour faire sauter la couche graisseuse et un antifongique qui s'attaquera au champignon... tout ça sans fragiliser la plante bien sûr.
.....Pas besoin de décaper les feuilles des tomates car il y a sur TOUTES les feuilles des végétaux des petites ouvertures appelées "stomates" d'où la vapotranspiration quand il fait très chaud. Le mildiou est classé plutôt dans les algues, les traitements à base de bicarbonate de soude ou sodium + liquide vaisselle n'a pas d'effet miracle sur le mildiou à part brûler le pollen des fleurs et mettre du sel dans le jardin, préférer le bicarbonate de potassium avec un effet fortifiant pour la plante. À ce jour AUCUN traitement CURATIF n'éxiste hélas !
@@mariannearmand6427 On se rejoint à 100% sur l'utilisation du bicarbonate de sodium et son aspect néfaste sur la floraison et "contamination" du sol, versus bicarbonate de potassium 😉
Exact, il n'existe pas encore de traitement curatif. Le traitement préventif qui était très efficace (mancazebe) a été interdit d'usage en Europe depuis février 2021 du fait de sa toxicité sur l'homme. J'ai vu son effet positif dans un potager d'un ami Colombien qui avait ramené en cache ce produit phytosanitaire encore en vente en Amérique du Sud. 40 plants de tomates sans mildiou chez lui (aussi à Bruxelles) en 2021 et des ravages partout chez nous et ailleurs. Mais je n'aurais pas mangé ses tomates.
Mon ami Oswaldo a traité avec du bicarbonate de soude et savon noir + un peu de lait. Aucune différence au niveau de la résistance de ses plants par rapport aux miens. Quand les conditions météo sont défavorables il n'y a rien à faire que de tout arracher malheureusement.
@@nuestropotager Je viens de commander le huile essentielle d'orange douce bio. Il paraîtrait que cela fonctionne par assèchement du mildiou. A utiliser en vaporisation avec un dosage de 1 ml pour 1000 ml d'eau. L'orange douce peut aussi être associée avec de la sarriette de montagne. J'ai essayé cette année le bicarbonate de sodium mais trop de fleurs brûlées. Je suis passé depuis ce matin au bicarbonate de potassium associé avec de la prêle + du lait + de l'ail + 5g de bouillie bordelaise pour un pulvérisateur de 5 litres. Je tente les associations pour voir ce que cela donne.
C'est scientifique, c'est donc magnifique.😋
dommage que vous ne mentionniez pas les variétés de tomates avec résistance verticale suite pollinisation sinon explications top merci
....Voir ma réponse à "iloufr", il y a 1 an !
Pas facile à trouver
Pouvez-vous orienter votre recherche sur ce que la symbiose entre plusieurs organismes vivants assure une protection simple et efficace de nos cultures potagères.
Par exemple : planter des fraisiers entre les choux agit comme répulsif à la ponte de la pyrale sur le choux, ou comment le romarin agit également comme répulsif à la ponte de la pyrale sur le buis ...
Mais, peut-être plus intéressant : comment la présence à la proximité immédiate des racines de nos légumes de pleine terre, et autour de leurs racines, d'une moisissure bien spécifique or très commune semble offrir une symbiose magnifique entre eux. Et protéger ainsi les plants de tomates et de cucurbitacées de toutes les attaques fongiques, même dans des conditions extrêmes que l'on prédirait comme un désastre annoncé : haute chaleur estivale et humidité, arrosage peu précautionneux sur les feuilles, course à-même-le-sol, sans tuteur, marcottage.
La moisissure d'un vieux pain, d'un vrai pain ! Autrement dit : un bon penicillium, non-pathogène. Le Bleu du Roquefort et de tous les fromages Bleus ...
Je me souviens encore de mon plaisir et de ma fierté d'avoir inséminé préalablement des spores de ce penicillium à mes semis, et à ma terre de culture de tomates et autres cucurbitacées, en 2014. L'été fut chaud et très humide : la culture départementale d'Indre-et-Loire en France, de tomates en pleins champs avait été détruite à 85%, tandis que je connus une réelle abondance.
Beaucoup de mes gentils voisins avaient ri de moi, en apprenant qu'au printemps je faisais moisir de vieux pains ... afin de récolter la précieuse poudre de spores de ce bon penicillium. Puis de l'inséminer à mon terreau de semis, puis à ma terre de culture.
Cependant, mes gentils voisins ont été ravis de goûter à la saveur de mes tomates tandis qu'ils avaient tout perdu ! Et les sourires avaient entretemps changé de camp.
Bonjour, pourriez-vous me dire quel pain vous utilisez et comment vous procédez ? Merci beaucoup
@@zadiaga6791 Le meilleur pain est celui que vous préparez ... car vous en connaissez et maîtrisez les composants !
Le pain industriel est à proscrire !
Recette pour production d'un substrat à l'obtention d'un bon penicillium (en existe de bons penicillium, et de moins bons c-à-d pathogènes) :
1. farine de blé blanche commune (+ un peu de farine complète ralentira la production du penicillium, sans toutefois l'interdire) ;
2. levure de boulangerie (sèche, vendue en petits sachets, Vahiné ou Alsa), surtout pas de levure dite chimique ;
3. eau de source : de nombreuses marques en supermarchés font l'affaire (surtout pas l'eau du robinet car elle contient du chlore !) ;
4. une pincée de sel (de préférence du sel grossier d'atlantique ou de méditerranée car le sel blanc dit raffiné contient des additifs indésirables !) ; l'ajout de sel n'a de valeur que gustative dès lors que vous consommerez une partie de votre vrai pain ; le sel agira cependant contre le développement du penicillium.
Préparez votre pâte en mélangeant les ingrédients, laissez-la monter, puis cuisez. A la sortie du four, pulvérisez un peau d'eau (non chlorée) sur le pain afin de lrefroidir en surface et d'éviter ainsi la formation d'une croûte trop épaisse ; recouvrez ensuite le pain d'une serviette sèche de coton, et laissez refroidir à coeur pendant un 1/2 heure, puis consommez votre bon et vrai pain !
Au terme de 3 jours, ce qui n'a pas été consommé aura séché, et présentera un défaut de consistance : le moment sera venu pour mener la production d'un bon penicillium. Découpez en tranches ce pain restant, exposez les tranches à sécher totalement dans un endroit aéré : cet effet exposera les tranches à recevoir un dépot spontané de toutes les spores de moisissures et de champignons environnantes. Les saisons d'été et d'automne sont davantage propices à la réception de spores ...
Ensuite : humecter recto-verso les tranches, rassemblez-les et mettez-les en sac (un vulgaire sac-poubelle plastique fera l'affaire). Veillez surtout à ne pas détremper ce support de culture de penicillium ! Ne fermez surtout pas le sac de façon étanche, afin de permettre un échange gazeux entre l'intérieur et l'extérieur. Rangez le sac dans un recoin de votre cuisine ... ou de votre garage, mais surtout pas au soleil ni au froid : la plage de T° idéale est de 20 à 27°C.
Après quelques 3 jours de culture, en ouvrant délicatement le sac, vous constaterez l'apparition de nodules verdâtres sur la surface de votre pain : c'est le signe de la présence et de l'activité intense d'un bon penicillium.
Au terme de 3 semaines, la totalité de votre support de culture aura été colonisé et littéralement digéré par le penicillium, ayant neutralisé et interdit l'activité d'autres organisme dont les moisissures, les champignons, les bactéries, les algues et peut-être également ... des virus.
Le penicillium, en s'étant bien gavé, aura produit une quantité inouïe de spores dont la consistance est poudreuse et volatile, dont la couleur est caractéristique du bleu-vert du Roquefort, du Bleu d'Auvergne, du Gorgonzola !
La structure alvéolaire de votre support de culture aura été un élément déterminant la rapidité de la culture et de l'obtention des spores de penicillium.
Des spores que vous récolterez précieusement ... et que vous inséminerez à votre culture potagère afin d'assurer à vos futurs semis la meilleure garantie de germination, de croissance et de fructification. Quoi qu'en serait d'un été chaud et humide qui ravage toujours la culture en plein-champ de tomates et de cucurbitacées !
Actuellement, parce que l'été est aujourd'hui chaud et humide, je mène l'expérience complémentaire de saupoudrer des spores penicillium sur des semis spontanés et tardifs de jeunes plants de tomates venus sur un vieux tas de compost. Saupoudrer à leur pied et directement sur leurs feuilles, par temps sec. Une pluie délavera les feuilles, mais incorpera au sol les spores ... qui ne manqueront pas de reproduire la présence de penicillium au plus près des jeunes plants. Après 3 semaines du début de cette expérience, les jeunes plants présentent un port somptueux d'une parfaite santé ...
Voili-voilou !
@@zadiaga6791 Je viens de vous répondre longuement en expliquant tout le processus mais ... mon commentaire vient d'être supprimé : censuré par Yt !
C'est navrant car l'IA qui sévit ici ne se base que sur des connaissances dites officielles, dominantes qui ne peuvent évidemment pas évoluer hors de cette domination.
@@jeansentrais9866 je vais tester au printemps prochain avec les indications données dans votre commentaire
Un grand merci à vous
Disséminer une maladie, et diffuser de l’information 😮 ouf, la langue française permet une précision chirurgicale 😅 ! Bon allez, j’ai à faire maintenant après les pluies abondantes pour avoir de plus belle tomates l’an prochain 🎉 . Grand merci.
Merci! A quand la même sur l oidium?? C est toujours rassurant d avoir des informations provenant de scientifiques experts et non de trucs de grand-mère que les uns ou les autres prodiguent ici et là !
Merci pour le commentaire positif. Nous en ferons peut être une autre sur d'autres maladies. Cela demande néanmoins une solide préparation, car c'est une vidéo scientifique vulgarisée.
Cordialement
Hugues
Excellent contenu. Merci!
Merci Gilles
Cordialement
Hugues
Meme si je n'ai pas de potager j'ai apprécié toutes ces informations et surtout leur clarté , la nature cache bien son jeu mais Sherlock Holmes a su en percé bien des secrets. Mon pin noir était infecté d'un champignon qui virait les épines
au brun , j'ai utilisé une creme antifongique pour les humains diluée dans l'eau , j'ai vu une nette amélioration de l'arbre.
@mabohox - 2022-11-19
Merci beaucoup au Professeur Sébastien Massart pour ces explications magistrales et pour son temps précieux qu’il a accordé à Nuestro Potager pour cette ITV.
Merci également à Hugues pour la précision de ses questions très ciblées. Bravo !
Nous voilà donc avec une grande quantité de données très précieuses ! Merci 1000x 😉😊
@nuestropotager - 2022-11-22
Merci pour l'encouragement. Il est prévu de faire d'autres vidéos avec des professeurs (en activité ou émérite).
Cordialement
Hugues
@nutnut2513 - 2023-09-07
écoutez la communauté verdeterreprod, vous n'aurez plus de maladies, ni dans votre potager ni dans votre corp..😉