Problèmes d’interférences pour le radar secondaire
Comme le récepteur du radar secondaire n’a pas à être aussi sensible que celui d’un radar primaire, le principal problème d’interférences est le brouillage. Il se divise en perturbations synchrones et asynchrones.
Deux types sont souvent désignés de façon mnémotechnique par:
Figure 1 : Interférence asynchrone ou « fruit ».
Figure 1 : Interférence asynchrone ou « fruit ».
- « Fruit » : réponses asynchrones provenant du même appareil interrogé par deux radars secondaires différents. Ceci donne des lignes d’échos en forme d’hélices sur un affichage PPI ce qui ressemble aux quartiers d’une orange coupée en deux.
- « Enchevêtrement » : réponses synchrones qui s’enchevêtrent dans le temps. Ceci se produit quand les réponses des transpondeurs de deux avions très proches l’un de l’autre, en distance ou en azimut, arrivent au radar ensembles. Il est alors impossible de les décoder.
En plus, il y a les interférences, synchrones et asynchrones, provenant de transpondeurs répondant à des interrogations différentes. En général, elles sont filtrées en réduisant automatiquement la sensibilité du récepteur radar et elles sont affichées à l’écran par un clignotement.