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Types de guerre électronique

Guerre électronique
Mesure de soutient
électronique (MSE)
Contre-mesures
électroniques (CME)
Contre-contre-mesures
électroniques (CCME)
- Renseignement
- électronique (ELINT)
- transmissions (COMINT)
- Détection
- Radiogoniométrie
- Analyse
- Identification
Anti-Active
Anti-Passive
Active
Passive
Déception
Brouillage
Chimique
Mécanique

Figure 1 : Diagramme montrant les éléments de la guerre électronique

Guerre électronique
Mesure de soutient
électronique (MSE)
Contre-mesures
électroniques (CME)
Contre-contre-mesures
électroniques (CCME)
Renseignement
- électronique
   (ELINT)
- transmissions
   (COMINT)
- Détection
- Radiogoniométrie
- Analyse
- Identification
Anti-Active
Anti-Passive
Active
Passive
Déception
Brouillage
Chimique
Mécanique

Figure 1 : Diagramme montrant les éléments de la guerre électronique

Types de guerre électronique

Il y a trois types principaux de guerre électronique :

Guerre électronique
Mesure de soutient
électronique (MSE)
Contre-mesures
électroniques (CME)
Contre-contre-mesures
électroniques (CCME)
- Renseignement
- électronique (ELINT)
- transmissions (COMINT)
- Détection
- Radiogoniométrie
- Analyse
- Identification
Anti-Active
Anti-Passive
Active
Passive
Déception
Brouillage
Chimique
Mécanique

Figure 1 : Diagramme montrant les éléments de la guerre électronique

Le domaine de la guerre électronique est en constante évolution et en compétition entre MSE, CME et CCME. Pendant que les ingénieurs de CME produisent des nouvelles méthodes de brouillage et des leurres plus performants, ceux de CCME travaillent à contrer ces mêmes méthodes. Souvent la compétition se fait dans le même camp par les mêmes manufacturiers.

Comme les systèmes modernes d’armements évoluent et que la vitesse de réaction en condition de combat diminue continuellement, le chaînon faible se situe-t-il au niveau de la décision humaine dans l’utilisation des mesures électroniques? Pas nécessairement, car l’expérience de l’opérateur lui permet souvent encore de reconnaître une situation dans laquelle la détection électronique automatique échoue. Par exemple, dans le cas de forts fouillis radar, où les seuils préprogrammés des appareils ne peuvent détecter un avion, l’opérateur peut ajuster le niveau l’intensité sur son écran et voir le mouvement de ce dernier.

Cependant, de grand pas ont été accomplis vers des systèmes d’intelligence artificielle qui fonctionneront de façon autonome. De plus, la quantité d’information à traiter augmente exponentiellement avec l’apport d’un nombre grandissant de différents capteurs. Seul un système informatique complexe permet d’en titrer les informations essentielles pour dresser une image de la situation.

La vitesse et la complexité de ces nouveaux systèmes nécessite toujours une décision finale par les opérateurs qui doivent être hautement formés non seulement par des cours théoriques mais de plus en plus par des mises en situation dans des simulateurs. Par exemple, le pilote d’un chasseur doit déterminer en une fraction de seconde sa situation lorsqu’il est menacé par un missile à partir de nombreuses indications de son radar et d’autres capteurs. Il n’a pas physiquement le temps de tout faire et un système automatisé peut alors l’avertir des contre-mesures prises. Il reste au pilote le choix d’annuler ces actions et seule sa formation peut lui être utile dans ce cas.

Un autre composant vital de ces systèmes est leur flexibilité. Lors de la Guerre du golfe persique de 1991, les avions occidentaux étaient conçus pour affronter les systèmes soviétiques mais se sont souvent retrouvés en face de systèmes achetés en Occident par l’Irak. Heureusement, leurs récepteurs et leurs brouilleurs étaient contrôlés par des programmes informatiques et un simple changement des paramètres a suffit pour faire face à la menace.